Pendant que, nos yeux étaient rivés sur la gestion de l’épidémie du Covid-19 au Gabon par le COPIL et le gouvernement. Pour nous dérouter, le premier Ministre Julien Nkoghe Békale fait une diversion en pondant dans son cabinet une loi sur l’HOMOSEXUALITÉ qu’il soumettra aux deux chambres du parlement. Est-ce un fait exprès ? Beaucoup peuvent bien se poser cette question ? Bien, OUI !

C’est une stratégie politique de traité un problème dans un autre problème, pour en créer un autre problème. En somme pour faire diversion. Car, le gouvernement ayant omis de nous faire le compte rendu de plusieurs milliards de francs CFA encaisser depuis le début de la covid-19, avec des insuffisances accusées. Le gouvernement, et le premier Ministre particulièrement ne daignent répondre avec clarté comment ont-ils fait la gestion de la « banque alimentaire, de l’argent frais reçu ? ». Ou de nous faire un rapport détaillé des « affectations budgétaires » dans chaque secteur impacté dans la gestion de la covid-19.

Ou encore de savoir, quelle enveloppe (en francs CFA) avait été loué au ministère de la santé proprement dite sur ;
• « les investissements en matériel acheter » pour la cause, y compris la liste et les numéros de plaques des véhicules qui circulent tardivement dans les bas quartiers avec les groupes de jeunes.
• Pour « l’affectation en prime des médecins ». De ce côté, aucun Gabonais n’est informé des primes de ces derniers qui prennent des risques chaque jour.
• Les différentes enveloppes (montant réel dépensé) pour « la gestion du social pour les populations gabonaises ». Combien la SEEG a réellement dépensé sur l’enveloppe octroyée, etc... (la distribution d’eau dans les quartiers, le paiement des factures d’eau, les unités EDAN pour le compte de la SEEG).
• Le fameux ministère des affaires sociales qu’avait-il fait ? Lui qui doit être là pour faire du bien aux populations. Nous n’avons rien comme compte rendu.

À ce net moment des choses, il est "importantissime" que le Gabonais du Mapane ( lambda) sache ce qui s’est passé. Tous les secteurs ministériels, les politiques, les partis politiques et tous ceux qui ont accompagné le gouvernement dans cette course à la montre du covid-19 dans ces débuts. Il revenait au gouvernement d’être honnête avec ces derniers pour expliquer comment ont-ils géré ces biens offerts avec bon cœur et l’amour du prochain. « Il ne suffisait pas de prendre les dons, mais aussi de rendre compte de la gestion qu’on en a fait ». C’est aussi vrai que l’épidémie n’est pas en phase d’extermination. Du moins, ce bilan devrait nous être donné chaque mois depuis le début de la pandémie.

Depuis le début de la covid-19 au Gabon. L’État gabonais avait reçu et continue de recevoir les milliards de francs CFA en terme de dons et les emprunts chez n’importe quel bailleur de fonds à la solde et à leur portée. Jamais de la vie, Julien Nkoghe Békale n’a eu l’audace de présenter les choses comme tel, ni lui, encore moins un seul de ces "ministrons". Simplement, il ne faut pas que les Gabonais sachent !

L’argent du CONTRIBUABLE GABONAIS ON LE GÉRE DANS L’OPACITÉ.
Heureusement, nous faisons tous la lecture des actes du gouvernement qui manque sérieusement d’objectivité et de pragmatisme. Le gouvernement constatant ces insuffisances dans cette gestion des moyens mis à leur seule disposition.

Aucun Gabonais, aujourd’hui ne peut dire avec fermeté qu’il continue de bénéficier des mesures sociales données par le président de la république Ali Bongo Ondimba. C’est une honte que l’État n’arrive pas à tenir ces engagements auprès de ces populations ne ce reste que pour 3 où 4 mois.

Plutôt que d’y réfléchir comment tenir ces engagements cités plus haut, c’est à ce moment que Julien Nkoghe Bekale va réfléchir pour pondre cette loi qui fait couler beaucoup d’encre et de salive. Notre pays, depuis des lustres. Les inspecteurs de l’éducation nationale ont envoyé des réformes nécessaires en matière d’éducation et la formation des enseignants dans notre pays. Où l’on trouve à insuffisance les professeurs de mathématiques, de SVT, de physiques, etc...Qu’a fait le gouvernement ? Rien hoooo... Non anéno !

Nous avons des écoles à l’arrière-pays, où l’on trouve un seul enseignant pour toute une école. Dans certaines provinces comme à la Ngounié et la Nyanga, soit erreur de stratégique. Le gouvernement va financer la construction des beaux bâtiments parfois hors des villages. Ces écoles demeurent sans enseignants et pas d’élèves. Comment dans un pays à faible population, les dirigeants SANS CŒUR NI FOI vont se permettre de tels errements ?

Que prend -on au sérieux finalement dans ce pays. Du coup, paf ! Nkoghe Békale Julien nous sort dans son carton un projet de loi sur la « dépénalisation de l’homosexualité » que les deux chambres du parlement sont en train d’examiner avec beaucoup de munitie. Parce que plusieurs Gabonais sont debout pour dire NON !

Dans cette affaire il y a beaucoup de non-dits. Ce que plusieurs ne savent pas, il n’y a pas que la loi là hoooo. Il y a aussi l’argent qui se cache derrière ce projet de loi. On parle de plusieurs centaines de milliards de francs CFA. La question ultime que nous devrions nous poser est à Nkoghe Bekale Julien, à cause de l’argent. Tu veux porter atteinte au problème de mœurs pour tout un pays ? D’où, les pédés viendront du Cameroun, Congo, etc... Pour venir trouver ceux du Gabon, est-ce que vous êtes sérieux ?

Curieusement, celui qu’on prétend gérer le Gabon est où ? Il ne dit mots ? Lorsqu’il s’agit du ridicule, tout le monde sort de sa tanière pour dire n’importe quoi accompagner de fausses promesses. Mais lorsqu’il est nécessaire de porter la clarté d’un dossier, tout le monde rase les murs. On joue exprès aux abonnés absents.

Que le président de la république revienne nous expliquer comme au début de la covid-19, nous dire ce qu’il en est aussi aujourd’hui de cette loi inacceptable pour avilir toute une nation, tout un peuple. Tout ça pourquoi ? Pour quelques Bifouras ! Est-ce que c’est sérieux ?

Avant de terminer mon libre propos, je voudrais dire qu’aucun Gabonais n’est aussi dupe, ni aveugle. Un peuple est comme les éléphants, ça n’oublie jamais.

Abîme té

FMEN