France : Un jeune gabonais recouvre la vue grâce au couple présidentiel
Paris, 3 août (Gabonews) Il a beau être critiqué par sa façon de gouverner le Gabon, mais le président gabonais, Ali Bongo Ondimba se veut très proche de son peuple et il l’a encore prouvé avec son épouse Sylvia Bongo Ondimba. Romaric Edzan Ebane, 25 ans, de nationalité gabonaise, a recouvré la vue après cinq (5) ans de cécité totale mais surtout a pu avoir accès à une formation supérieure spécialisée à Paris grâce au financement et au soutien inconditionnel du couple présidentiel gabonais.
« Aujourd’hui, si j’ai la chance d’admirer la beauté de la nature ce qui n’était pas possible il y a cinq ans, c’est grâce au président Ali Bongo Ondimba et sa précieuse épouse Sylvia Bongo Ondimba qui m’ont sorti de cette situation difficile et très délicate. Un grand merci au couple présidentiel qui ne cesse de fournir des efforts pour donner la chance à tous les jeunes gabonais de réussir », nous a confié Romaric Edzan Ebane.
Pour lui, cela a été une opportunité qui n’est pas assez répandue. Sa préoccupation est celle d’octroyer une égalité de chances aux plus faibles.
« Le Gabon émergent doit prendre soin de ses enfants les plus faibles, car c’est ainsi qu’un pays peut être appelé un ’’grand pays ’’. Que tous ces potentiels qui sommeillent chez nos jeunes compatriotes mal voyants ou à mobilité réduite soient exploités en les aidant à surmonter leurs handicaps », a-t-il ajouté.
Le 3 janvier 2008, Romaric Edzan rentre chez lui et s’apprête à réviser ses cours de droit quand il s’aperçoit qu’il n’arrive pas à discerner les caractères dans son cahier même s’il voit bien autour de lui. Petit à petit, il perd la vue. Mal soigné, des diagnostics contradictoires finissent par lui prédire une cécité totale irréversible.
Malgré son handicap, le jeune gabonais, originaire du Woleu Ntem, premier garçon de la famille, garde une ténacité à toute épreuve et franchit les étapes de l’autonomie une à une. La première étape sera de se faire accepter dans une école réservée aux enfants pour apprendre le braille, puis de se faire remarquer par sa volonté, son enthousiasme et son dynamisme. La deuxième sera d’ obtenir les moyens financiers lui permettant de partir de Libreville pour la France.
Passant au-dessus des nombreux obstacles administratifs qui s’élèvent devant lui les uns après les autres, il finit enfin par trouver le soutien qui lui offre une bourse pour ses études à Paris : Ali Bongo Ondimba et son épouse Sylvia Bongo Ondimba.
En septembre 2012 et après plusieurs consultations ophtalmiques, c’est le miracle qu’il n’attendait plus. Il peut désormais voir devant lui et tout ce qui l’entoure.
Un bel exemple à suivre pour donner un peu plus d’opportunités, de chance et de justice aux enfants gabonais en situation d’handicap de sortir du bourbier et du désespoir.
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