Né dans les années 60 à Libreville (capitale provinciale de l’Estuaire, ville administrative du Gabon), l’ancien administrateur et cadre du secteur portuaire et Maritime du groupe Satram, secteur qu’il laisse en 2002, après avoir occupé les fonctions de représentant basé à Libreville et contribué au développement sous – régional et continental de ce groupe, il abandonne
celui-ci pour jouer les premiers rôles au sein de la société civile gabonaise en reconstruction.

Titulaire d’un Master en Administration des affaires (MBA) de l’Université du Québec à Montréal, Nicaise Moulombi s’intègre avec aplomb au sein de la société civile. Ce nouveau positionnement de défenseur de l’environnement et de la protection de la nature l’amènera tout naturellement a mettre sur pied l’Organisation non Gouvernementale, Croissance Saine Environnement, une présence marquée au droit et à la protection de défense pour la nature.

Dès 2009, en septembre plus précisément, il sera nominé par Reporter Sans Frontière (https:// fr.rsf.org/IMG/pdf/ RSF_Rapport_environnement.pdf) dans sa rubrique journalistes en danger pour des enquêtes environnementales du rapport de Vincent Brossel avec pour premiers résultats, l’amélioration substantielle de la qualité de l’eau, la transparence forestière, le traitement des huiles usagers et de boue issues des pollutions pétrolières, minières et industrielles.

Pour affirmer son leadership écologique, Nicaise Moulombi, créera l’Observatoire de promotion de développement durable produit et services des industries du Gabon (ODDIG) avec l’assistance des experts français, canadiens, sud-africains et gabonais.

Mais avant cela, Nicaise Moulombi est porté à la tête du Haut Conseil des Acteurs Non Etatique du Gabon (HCANEG), un regroupement d’une vingtaine d’Ongs, réseaux et syndicats, initiant ainsi, avec une équipe d’experts nationaux, la réalisation du 4ème rapport sur la biodiversité en route pour Nagoya. De ce même réseau, il va coordonner l’observation des différents processus électoraux, rédigeant le rapport d’évaluation post-électoral de 2009 restitué à l’ensemble des partenaires bilatéraux accrédités au Gabon.

En 2012, Monsieur Moulombi, défend l’initiative de la mise en place d’un Réseau pour l’économie verte et obtiendra cette approbation lors de la conférence des ministres en charge des forêts et du développement durable.

Deux ans plutard, en juillet 2014, au cours de l’Assemblée générale constitutive organisée à Libreville, il deviendra le President du Réseau des Organisations de la Société Civile pour l’Economie Verte en Afrique Centrale(ROSCEVAC), ce en présence du Secrétaire général de la CEEAC et de l’Ambassadeur, chef de la délégation de l’Union Européenne.

En septembre 2014, il sera distingué au programme du Département d’Etat pour la transparence et la bonne gouvernance pour l’ensemble de son action par la coopération américaine accréditée au Gabon.

Ancien Président du groupe association et Membre du Conseil Economique et Social de son pays, cet amoureux du monde des médias et de la communication est également propriétaire du Journal Croissance Saine Environnement, et l’expérience accumulée dans les grands rendez- vous atteste sa forte personnalité et son indépendance intellectuelle.

Source NM/MT