CEMEF : la 24e Promotion sur le pont

8 November 20230
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Récemment, au Centre des Métiers de la femme situé au quartier Mont Miyélé dans le premier arrondissement de la commune d’Oyem, une cérémonie sobre mais d’une importante particulière s’est déroulé dans l’enceinte dudit Centre de Formation du Groupe Gabon Education

Il s’agit de la sortie de la 24e promotion, uniquement de la filière santé dont onze Lauréats ont reçu leur parchemin dans une joie indescriptible. Cette 24e promotion qui est celle de 2021 – 2022, a vu la présence du Directeur des affaires Financières du groupe Gabon Education, Edouard NSEGBE, celui-ci a félicité, les Lauréats qui ont reçu une bonne formation durant leur 2 ans d’études avant de les exhorter à appliquer aux mieux les idées reçues pour l’épanouissement de leur carrière. Quant à la major Fatima ZARA, tout en remerciant de prêt ou de loin, ceux qui ont contribué à leur réussite, elle a fait un clin d’œil à celles qui hésitent de prendre le train car selon elle, l’éducation n’a pas d’âge. Dans la cuvée 2021 – 2022, ce sont des infirmières assistances, accoucheuses et vendeuses en pharmacie qui étaient à l’honneur.

Centre Préscolaire du Woleu/Claudine
NKENE NKOUME ‘’le gros de mon travail s’effectue dans les cybers’’. C’est en quelques sorte, le cri de détresse lancé par la responsable du centre préscolaire du Woleu dont la mesure de gratuité des frais de scolarité bien que salutaire prise par les plus hautes autorités ait provoqué à n’en point douter quelques imperfections dans le bon fonctionnement des établissements pour parer au plus pressé du fait de l’absence des mesures d’accompagnement dont celle-ci à vivement impactée dans sa manière managériale dont les 15 maitresses à sa charge se plaignaient de certaines commodités liées à leurs méthodes de travail c’est-à-dire le matériel éducation auquel elle y renouvelait à chaque rentrée scolaire ; depuis que les parents ont compris que l’heure est à la gratuité des frais de scolarités d’aucuns emmènent, les enfants parfois sans fourniture. Sur un effectif de 210 élèves tout le travail s’effectue désormais dans les cybers dû à un problème d’ordre financier qui s’oppose dans le rayonnement de l’établissement mais entre temps on fait avec les moyens de bords pour maintenir le cap.

- Cas social /EKWA SIMA WENCESLAS ‘’les nouvelles autorités ne doivent pas seulement regarder que les handicapés moteurs’’. C’est de ce constat que ce jeune compatriote d’une trentaine d’année révèle auprès des autorités par rapport à la gestion des handicapés dont ceux dits moteurs bénéficient plus d’aides publiques par rapport aux handicapés physiques de ce fait, depuis la création de leur association pour les personnes handicapées en 2000 ; il n’a jamais perçu aucune aide de l’Etat, et à chaque fois, il s’entend dire selon le président dudit association que son dossier ne se retrouve pas dans le circuit, ce qui l’a mis en retrait avec beaucoup d’autres qui ne retrouvent pas leur compte. C’est dans cette optique qu’il attire à l’attention des plus hautes autorités notamment le chef de fil du CTRI Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA pour que la réparation soit faite dans ce cas social. Lui qui entreprend à se mettre à son propre compte pour réaliser ses projets.

Gérard Minko

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