L’humanisme de l’Honorable Marcel Libama salué par le Président de l’Assemblée nationale

2 mars 20240
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L’Assemblée Nationale gabonaise a effectué sa rentrée parlementaire, conformément à la Charte de la Transition, et notamment à son article 49 nouveau. La première session ordinaire du parlement de la Transition s’est ouverte ce 1er mars 2024. Dans son allocution, le Président de l’Assemblée Nationale, Jean François Ndongou, salue l’esprit de solidarité de l’Honorable Marcel Libama, qui n’a ménagé aucun effort pour apporter son soutien à la famille des cinq membres sauvagement assassinés à Franceville.

C’est la rentrée parlementaire. Les honorables députés ont répondu présents à cette première session ordinaire. Le Président de cette institution républicaine a rappelé à des fins utiles que cette belle et heureuse tradition, solennelle et essentielle dans la vie des assemblées parlementaires, est instituée conformément aux dispositions de l’article 49 nouveau de la Charte de la Transition. «  la première session ordinaire de la Transition s’ouvre le 1er jour ouvré du mois de mars et prend fin le dernier jour ouvré du mois de juin ». Autrement dit, poursuit-il "nous obéissons non pas à une
habitude ou à un comportement, mais à une norme que nous nous sommes fixés
".

Dans son discours, le Président Ndongou a souligné le fait divers malheureux, vécu au Gabon, celui de l’assassinat crapuleux d’une famille à Franceville. L’Assemblée Nationale de la Transition a exprimé sa compassion à la famille des victimes de cet acte odieux. "C’est le lieu d’appeler davantage l’attention du Gouvernement à l’action rigoureuse pour sécuriser chaque citoyen sur toute l’étendue du territoire. Nous saluons ici par ailleurs, l’entregent de notre Collègue, l’honorable Député Marcel Libama, qui n’a ménagé aucun effort pour apporter son soutien à la famille, tout au long de cette douloureuse
épreuve
".

Pour beaucoup, c’est l’humain en Marcel Libama qui s’est une fois manifesté. Il s’est impliqué en organisant la cérémonie d’hommage en lieu et place des autorités administratives. Il a accompagné les familles dans toutes les démarches. "Je me suis rendu à Léconi comme à Koula-Moutou pour aller enterrer les morts du crime odieux. Nous avons organisé une marche dans les rues de Koula-Moutou pour dire Non, plus jamais" fait-il savoir. "Sans l’implication de Marcel Libama ces martyrs auraient pu être inhumés dans l’anonymat total" lâche un homme en colère, comme pour saluer l’implication de l’homme.

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