Juste à l’approche d’un amas de ruines, c’est une forte odeur qui vous accueille. La présence des mouches et des asticots en témoigne. Les employés de ce magasin victime d’un incendie il y a quelques jours font de leur mieux pour nettoyer.

L’odeur du pourri est si forte que ces travailleurs se couvrent le nez et la bouche avec des moyens peu fiables. Une semaine s’est écoulée depuis que ce magasin a été victime des flammes. Les soldats du feu ne purent rien faire.

Cette puanteur importunent aussi les narines des passants et des commerçants qui vendent leurs différents produits près de là. Ils ne savent plus à quel sain se vouer.
Leur seul souhait est que ce tas d’ordures qui dégagent de fortes odeurs soient vite débarrassé des lieux, afin qu’ils exercent paisiblement leurs activités génératrices de revenu.

Georges-Maixent Ntoutoume