L’épineuse question du transport à Libreville revient à la charge une fois encore. Les élèves ont repris le chemin des classes créant un embouteillage sans précédent pour emprunter un taxi. Le retour des pluies n’arrange pas les choses pour autant. Et la cerise sur le gâteau, les tarifs ont explosé, de quoi faire maigrir le portefeuille des ménages.

Se déplacer dans le grand Libreville est devenu un luxe, même si le qualificatif ne semble plus adapté au contexte actuel. Les taximans avec les restrictions résultant de la covid-19 n’ont eu d’autre choix que de faire grimper les tarifs pour combler le déficit dans leur recette. Et comme toujours, l’usager paie le prix fort.

Autant dire que le calvaire est parti pour durer 9 mois. Aux élèves et particuliers d’endurer cette pénitence qui ne semble pas trouver d’issue. Mais qu’à cela ne tienne, toute chose a une fin.

Freid KOUMBA