Le cunnilingus ou l’orgasme au féminin

3 octobre 20140
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Nous vivons dans une société où certaines actions sont interdites (tabou traditionnel et religieux). Il serait difficile d’être soi-même et surtout en matière d’amour. Avec la mondialisation il devient logique, pour nous les femmes, de prendre chaque minute de plaisir dans l’acte sexuel. Et le plaisir passe aussi par le cunnilingus.

Cunnilingus, ou encore appelé la cave, est une pratique qui consiste à lécher le vagin de la femme, allongée, debout ou à quatre pattes, il est possible dans à peu près toutes les positions. Le cunnilingus fait partie des préludes des caresses avant ou après l’amour. Il s’agit pendant cette position, d’offrir pleinement son intimité au regard de l’homme.
Et pour celles qui se posent des questions voici quelques idées qui vous aideront peut être à vous sentir plus à l’aise.
Pratiquer le cunnilingus est possible pendant les règles, si cela ne vous dérange pas, mais le plus important si vous le faites est de concentrer votre action sur le clitoris et de ne pas jouer avec le vagin.
Une épilation intégrale de la zone n’est pas nécessaire. La zone la plus concernée par le cunnilingus est le clitoris où il n’y a pas de poils. Mais votre partenaire peut se sentir plus à l’aise si votre sexe est épilé.
La raison d’hygiène peut être écartée. En effet, le vagin (sauf en cas de maladie sexuellement transmissible) contient des germes sans danger, présents...dans le yaourt.
En matière de santé, comme chaque action il y a des conséquences. Le risque d’attraper une maladie sexuellement transmissible en pratiquant les cunnilingus est le même qu’au cours d’un rapport génital avec pénétration. Certes, il y a moins de risques mais le danger est tout de même présent. Toutefois deux maladies peuvent être transmises :
La syphilis et l’herpès et là, la confiance en son partenaire est primordiale pour se sentir en toute sécurité et apprécier également la pratique. Et n’oubliez pas, que certaines peuvent être bloquées pour des raisons d’hygiène, de dégoût ou pour des raisons morales ou religieuses et pour toutes ses raisons, on discute et on n’impose rien.

Helga OBIANG

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