Que se cache-t-il derrière la covid-19 ?

7 décembre 20210
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Nous n’avons rien contre les vaccins, d’ailleurs nous avons tous, sinon la plupart, été vaccinés à différents âges en vue de se prémunir, nous a-t-on fait comprendre, de maladies de sortes diverses. Et, aujourd’hui encore nous faisons vacciner nos enfants malgré tous les scandales en la matière que notre continent a connu. Oui, rappelons-le, l’Afrique a souvent été le théâtre historique d’expérimentations cliniques de tout genre par les occidentaux et en complicité parfois avec les dirigeants du continent.

S’agissant aujourd’hui de la covid-19, cette pandémie qui sévit dans le monde depuis voilà deux ans pratiquement, le gouvernement vient de prendre de nouvelles mesures dans les secteurs du transport et de la santé, visant -semble-t-il- a «  revitaliser la politique de relance de l’économie tout en préservant la santé des populations ». Alors qu’il y a encore quelques temps on nous réitérait que la vaccination n’est pas obligatoire, de toute évidence ce n’est plus le cas ! Elle est même devenue pour nos dirigeants la seule solution à cette crise. Cela ressemble à du déjà vu, n’est-ce pas ? Bref...A cet effet, ceux qui ne se seront pas faits injecter ces solutions expérimentales n’auront plus droit de cité à proprement dit, et ce à compter du 15 décembre 2021.

Pourquoi pour une pathologie, dont l’origine est aussi douteuse que controversée, veut- on obliger tout un pays à se faire inoculer des substances dont on ne connait les effets, et qui ne proposent aucune immunité véritable, ni pour le sujet, ni pour son entourage ? Pourquoi veut-on faire d’un peuple un laboratoire de cobayes de grandeur nature ?

Nous avons des scientifiques, des spécialistes dans notre pays, ont-ils pensé analyser les compositions de ces vaccins qu’on nous propose de part et d’autre ? Peuvent-ils attester du caractère non-nocif de ces substances sur la santé des populations et des générations futures ?

Le Professeur Christian Perone, ancien vice-président du groupe consultatif européen d’experts de l’OMS en vaccination, dans une de ces récentes déclarations a dit que « toutes les personnes vaccinés doivent se mettre en quarantaine pendant les mois d’hiver ou risquer une maladie grave ». Vous imaginez le scénario !

Tandis qu’en France les parlementaires rejettent la vaccination obligatoire, que l’argentine annonce la suspension des vaccins Pfizer et Moderna jusqu’en 2023 pour avoir selon eux « le recul nécessaire jusqu’à la fin du cadre expérimental » du fait de la hausse des cas de thromboses et autres effets indésirables enregistrés, que plusieurs pays de l’occident refusent ces vaccins expérimentaux, le Gabon s’empresse à faire de sa petite population des rats d’un laboratoire géant.

Comment dit-on vouloir circonscrire la maladie dans le pays et augmenter incessamment les fréquences de vols des compagnies aériennes ? Selon les mesures, seuls les vaccinés pourront circuler librement en tout lieu et en tout temps sans autorisation aucune. Or, il se trouve que selon le Pr Montagnier, virologue français, Prix Nobel de Médecine en 2008, les variants de la Covid-19 sont dus à la vaccination. Pour faire simple, ce sont les vaccinés qui créent les variants. Plus il y’a de vaccinés, plus on en trouvera de nouvelles formes. Selon cette logique, il s’agit donc pour l’exécutif de laisser balader des incubateurs vivants de la Covid propageant des mutants de tous genres de la pathologie en question.

Si le but est de protéger la population, ne devrait-on pas ne pas imposer cette vaccination de masse qui transformerait les habitants en porteurs ambulants de la maladie ? Ne devrait–on pas prendre également un peu de recul dans cette affaire ?

Que se cache-t-il derrière cette pandémie liée au corona virus ?

C’est sûr que le gouvernement n’en a même pas idée. Toutefois, il faut le reconnaitre, il a su trouver en cette pandémie un instrument de coercition du peuple gabonais, un malicieux palliatif aux forces armées qui peuvent avoir un semblant de répit...un instrument efficace, puisqu’il permet aussi, au passage, de soutirer des centaines de milliards aux institutions internationales pour soi-disant lutter contre la pandémie. Mais où va tout cet argent ? C’était une question rhétorique. Peu importe pour nos dirigeants, de toutes les façons ils se disent qu’ils ne seront plus lorsque les générations futures devront rembourser ces sommes mirobolantes.

Ce tout nouveau joujou, tant qu’il leur permet de contraindre au mutisme un pays tout entier, tant qu’il leur permet d’adapter, sinon de créer des lois à leur guise, il n’est pas question de s’en séparer, et cela même si le peuple souffre. Un peuple, dont les habitants peinent à manger, à boire, à se loger décemment doit encore chercher 20 mille francs pour un test PCR pour éviter un vaccin qu’il ne comprend ni d’Adam ni d’Eve...Est-ce normal ? Je me demande même plutôt si ces décideurs sont normaux ? Qu’a-t-on promis à nos dirigeants pour ainsi vendre ce pays ? Leur reste-t-il encore un morceau d’humanité qui les empêcherait de livrer des générations ? Ou bien espèrent-ils ne plus être de ce monde pour ne pas voir, sinon subir, les conséquences de leurs actes.

Avant 1960, date de notre pseudo indépendance, la ville de Dubaï aux Emirats-Unis n’était qu’un vaste désert, mais par la volonté politique de son Cheikh Mohamed Ben Rashid Al Maktoumis ce bout de terre de 4114 km2 est devenu l’une des meilleures villes au monde. Dans une interview qu’il accordait, l’émir pouvait s’exprimer ainsi au sujet de ce qu’il veut pour Dubaï : « La meilleure éducation, la meilleure santé, les meilleurs logements. [...] Je veux simplement que mon peuple ait la meilleure vie possible  ». Ceux qui sont à la tête de notre nation peuvent-il en dire autant ? Des mesures du genre ne visent qu’à créer le chaos dans un pays qui vivote déjà, où les tensions sociales sont déjà à leur extrême.

A partir du 15 décembre par décision du gouvernement, les malades seront ainsi abandonnés à eux-mêmes faute de personnels soignants ; les commerçants ne pourront plus étaler leurs marchandises dans les marchés et les ménages ne pourront plus s’y rendre. Des milliers de gabonais mourront de faim. La crise touchera le secteur de l’éducation parce que les enseignants ne pourront plus accéder à leurs salles de classe ; le service public qui est déjà croulant agonisera parce qu’une partie du personnel ne sera pas présent ; les usagers auront du mal à retirer leurs sous aux guichets des banques parce que plus suffisamment de personnes pour les servir ; les audiences seront suspendues dans les tribunaux par défaut de personnel judiciaire pour assurer le service ; les prisonniers sans surveillance pourront se pavaner tranquillement dans les rues, les délestages en eau et électricité seront le quotidien des gabonais puisque les services et les entretiens périodiques des installations seront affectés...

Il est encore temps de faire marche arrière pour le bien de tous, pour la cohésion nationale et la paix dans ce pays, pour que les générations futures ne puissent jamais dire : « comment nos pères ont fait pour en arriver là !? ». Nous vous invitons à suivre cette orientation.

Chef du parti Orientation Nouvelle( ON)
Sosthène Orphé LENDJEDI IBOLA

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