Adoption du règlement intérieur et des statuts, fixation du bureau exécutif, élaboration du programme des activités annuelles, ce sont les principaux points autour desquelles était axée cette rencontre que dirigeait Christian Bekoung, président actuel de ladite association. L’ONG en gestation veut être reconnue au même titre que les autres organisations. Leurs textes seront déposés au ministère de l’intérieur.

"Le CJEG veut inculquer à la jeunesse gabonaise et au reste de la population, un comportement responsable face à l’environnement", affirmait le président de l’ONG. A cet effet, ils mènent des actions concrètes depuis 2010. Pour l’heure, ces jeunes gabonais se sont beaucoup illustrer dans le nettoyage des espaces. A leur actif, plusieurs journées propres et des participations à des événements de même nature.

Christian Bekoung, et les membres de son association travaillent aussi en collaboration avec d’autres organisations. De 2012 à 2014, ils ont participé à une formation de jeunes sur les techniques d’assainissement et de traitement des eaux, une initiative de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba, ainsi qu’à celle de l’ONG internationale Toilette Du Monde.

Au Gabon, l’entretien de l’environnement est un problème majeur. Plusieurs quartiers de Libreville, la capitale, croupissent dans l’insalubrité, et les eaux usées y augmentent le risque de maladie.

Georges-Maixent Ntoutoume