BEPC ET BAC 2018 : Le Lycée Public Jean Arsène Bounguendza de Lastoursville dans l’excellence !

25 juillet 20180
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Les candidats au Brevet d’Etude du premier cycle(BEPC) et ceux du baccalauréat(BAC) du Le Lycée Public Jean Arsène Bounguendza de Lastoursville (Ogooué-Lolo) ont honoré leur établissement. 138 candidats présentés au BEPC ,129 ont décroché leur Brevet soit 93,47% de de taux de réussite ; 120 candidats au Bac,112 admis, soit 93,33% de taux de réussite. Les responsables dudit établissement expriment leur fierté pour la qualité des enseignements et du management du proviseur, Dieudonné Boukala.

Beaucoup disent de lui que c’est un leader, un fin stratège. Dieudonné Boukala, mathématicien de formation, a été nommé proviseur du Lycée Public Jean Arsène Bounguendza de Lastoursville en 2009.Depuis son arrivée à la tête de l’établissement, les résultats sont excellents, en témoignent les élèves et leurs parents. Sa méthode de travail, son sens de motivation et bien d’autres qualités, font de lui, un homme apprécié, non seulement par ses collaborateurs, mais surtout chez les apprenants. Les résultats aux examens cette année 2018 en sont la preuve. « L’art de la réussite consiste à savoir s’entourer des meilleurs  » dit Dieudonné Boukala, citant John Kennedy pour rendre hommage aux enseignants et autres membres de son administration .

Sur 138 candidats présentés au BEPC ,129 ont décroché leur Brevet. Les 9 autres ont été recalés. Le Lycée obtient 7 mentions bien et 34 mentions Assez bien avec 93,47% de de taux de réussite. C’est au bonheur des enseignants qui disent avoir le sentiment d’un devoir accompli. « C’est toujours un réel plaisir de voir ses élèves réussir à un examen tel que le BEPC ou le Bac. Cela donne le sentiment d’une mission accomplie. C’est un sentiment de satisfaction  » exprime un enseignant fier de lui et des élèves. C’est un sentiment que ne cachent pas les heureux brevetés. Ces derniers pensent que seul le travail paie. « En plus de mon passage en Seconde, je viens d’obtenir mon BEPC ! Quel bonheur ! Quel honneur ! Quelle fierté pour mes parents qui m’ont soutenu. Je n’oublie pas mes professeurs qui ont été pour beaucoup dans leurs enseignements sans oublier leurs précieux conseils. Le travail récompense vraiment. L’obtention de mon examen vient davantage le confirmer. C’est ainsi que je vais me battre pour mon Bac dans trois ans », se confie un heureux breveté.

Sur les 120 candidats au Bac,112 admis ont été enregistrés ;8 recalés avec 3 mentions assez bien. Soit 93,33% de taux de réussite. Le bonheur se lit sur les visages des heureux bacheliers. « Je suis heureuse. Je suis fière. Je viens de décrocher mon bac ! J’avais pris le pari pour l’avoir. Mon secret, c’est le travail, rien que le travail comme nous le conseillait notre proviseur. C’est un guide, un homme de principe qui sait conduire ses enfants à bon port. Je lui rends hommage. Je viens d’offrir plus de fierté à mon père et ma mère » lâche une bachelière, les yeux inondés de larmes.

C’est aussi un bonheur partagé entre les élèves et leur proviseur. Il joue plusieurs rôles, celui de proviseur, d’enseignant, psychologue, motivateur. Tout ceci dans le but de conduire ses apprenants de l’effort au réconfort. Faisant sienne la pensée de Gandhi, Dieudonné Boukala estime que « C’est dans l’effort que l’on trouve sa satisfaction et non dans la réussite. Un plein d’effort est une pleine victoire ».

Fini le BEPC et LE BAC. C’est le moment pour les bacheliers de répondre à l’épineuse question d’après Bac : quelle université ou école pour la suite de mes études ? Le choix réside le plus souvent en fonction des moyens que disposent les parents qui aimeraient voir leurs enfants apprendre à l’étranger. Le gouvernement gabonais est sollicité pour redonner à l’Université Omar Bongo ses lettres de noblesse d’antan. Le pays en a besoin.

Martial TSONGA MBICKA

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